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Les effets cachés des bactéries sur votre poids

par JB

bacteries2Savez-vous que votre corps accueille plus de bactéries que vos propres cellules ?

Leur influence sur notre santé est connue depuis Louis Pasteur, mais c’est seulement depuis 2007 qu’on essaye de les identifier, et de comprendre leurs mécanismes.

Il ne se passe pas un mois sans qu’une nouvelle découverte à ce sujet se fasse.

Elles influenceraient notre appétit, permettent la production de certaines vitamines… et joueraient un rôle clé dans le développement de nombreuses maladies chroniques variées (cancer, obésité, autisme).

Notre flore intestinale est un véritable éco-système, avec des populations différentes qui grandissent, meurent et parfois s’affrontent.

Imaginez un peu qu’on puisse changer cet éco-système… sans pour autant prendre des compléments. On pourrait améliorer notre santé si facilement !

Figurez-vous que toutes ces bactéries se nourrissent de ce qu’on mange…
Notre alimentation, la façon de se nourrir et même le jeûne peuvent changer complètement notre flore intestinale.

Et si on pouvait jouer avec nos bactéries avec une certaine alimentation ?

Dans cet article, je vous propose de plonger dans le monde des bactéries, et comprendre comment améliorer notre microbiome (la combinaison de bactéries dans le corps à un instant précis).

Les bactéries au coeur de notre digestion

Lorsqu’on nait, le microbiome est quasiment vide. C’est l’exposition à l’air et aux fluides pendant la naissance qui crée ce monde complexe.

Que se passe-t’il si on isole l’organisme de toute « contagion » bactérienne ?

L’expérience a été faite sur des souris, qu’on a fait naître et grandir en bulle stérile.

La conclusion de cette étude est simple : sans exposition aux bactéries, le cerveau ne se développe jamais et la souris meurt.

Si on introduit des bactéries plus tard, la souris se développe quand même mais avec des troubles de croissance.

Les bactéries, c’est donc la vie !

Chez les bébés humains, on s’est rendu compte qu’une population bactérienne peu variée à 3 mois augmentait le risque de développer une allergie alimentaire plus tard (voir étude).

Depuis des millions d’années, elles ont évoluées avec nous, une forme de parasitage. Et comme beaucoup de parasites, elles ont trouvé des moyens de se rendre utile pour leur hôte (nous !).

Par exemple, elles permettent la production de vitamines A, K, C et B12, riboflavine et beaucoup d’autres.

On les utilise justement dans la production industrielle de vitamines, celles qu’on trouve dans le commerce.

Leur rôle est si important que tuer les bactéries a des conséquences graves : dans une étude, la prise d’antibiotiques réduit les populations bactériennes au point d’avoir besoin de se supplémenter en certaines vitamines par la suite.

C’est sûrement pour cette raison que face à certaines maladies, un microbiome faible et peu varié rend plus vulnérable.

Les effets négatifs de certaines bactéries

Mais d’autres populations de bactéries ne sont pas aussi sympas et vont avoir un effet négatif sur la santé.

On avait parlé dans un autre article d’augmenter notre appétit, un effet que j’avais exploré dans cet article sur les bactéries et la perte de poids.

D’autres vont participer aux développement de maladie, comme des cancers (estomac – étude 1, colorectal – étude 2)

Il y a donc des bonnes et des mauvaises bactéries. Comment savoir lesquelles ?

La bonne nouvelle c’est que le système bactérien s’auto-régule, c’est une question d’équilibre.

Imaginez un éco-système animal où il y aurait trop de zèbres, qui détruisent la savane en mangeant toute la végétation. On peut introduire plus de lions pour limiter leur nombre… mais pas trop, sous peine de déséquilibrer l’éco-système dans l’autre sens.

Les bactéries c’est un peu pareil, il ne suffit pas d’en choisir une et de prendre un max de compléments probiotiques. De petits changements subtils suffisent pour influencer l’éco-système en le poussant dans la bonne direction.

En d’autres termes, il ne s’agit pas d’ajouter des « bonnes » bactéries autant qu’on veut, car ça peut déséquilibrer le système.

La clé est de nourrir ses bactéries correctement, et de laisser la nature faire son travail. De petits changements peuvent donc avoir de grandes conséquences.

Pour ça, vous voulez donc une grande variété… c’est la clé pour être en bonne santé.

Les problèmes de notre alimentation

A un moment de notre histoire, on a commencé à produire nos aliments dans des usines.

Pour que les produits se conservent plus longtemps sur les étalages des magasins, ces aliments ont été de plus en plus stérilisés. Au point de ne plus contenir de bactéries… sauf celles qui contaminent les produits ensuite.

La conséquence sur notre propre microbiome est simple à comprendre : une alimentation industrielle réduit la variété de nos bactéries. Non seulement ces produits apportent moins de bonnes bactéries, mais les quelques mauvaises s’attaquent à notre population saine.

Un professeur anglais en épidémiologie génétique, Tim Spector, en a fait l’expérience. Il a mesuré le nombre d’espèces bactériennes chez un étudiant avant et après un régime 100% McDonalds… en seulement 10 jours, la variété est passée de 3500 espèces à moins de 1300 !

En connaissant l’importance de cet équilibre sur la santé… je vous laisse imaginer l’état de votre flore intestinale après des années à manger industriel.

L’autre problème, c’est que les produits industriels ne contiennent que très peu de fibres alimentaires… dont les bactéries (surtout les bonnes) se nourrissent.

Il y a 15 000 ans, on mangeait en moyenne 150 ingrédients par semaine. Aujourd’hui, on est plutôt autour de 20… et la plupart sont très raffinés.

Encore une fois, la faute à une alimentation trop industrielle, car les ingrédients de ces aliments ne varient pas beaucoup d’un produit à l’autre lorsqu’on regarde les sources derrière ces ingrédients : maïs, soja, blé, sucre… probablement ce qui a tué la flore intestinale de l’étudiant du professeur Spector (la classe ce nom quand même).

Le sucre vous avez dit ? Ce dernier a un effet tout particulier.

L’influence du sucre sur nos bactéries

Savez vous que 80% des produits de supermarché dans le monde ont du sucre ajouté ?

Je parle souvent des conséquences négatives sur notre appétit (le corps mesure mal le sucre quand il est raffiné comme ça), sur nos hormones (on surproduit l’insuline), sur notre mental (les variations de la glycémie affectent notre humeur).

Aujourd’hui, vous allez avoir de nouvelles raisons. Le monde des microbes réagit tout particulièrement au sucre…

La premère chose, c’est que le sucre nourrirait les mauvaises bactéries (voir étude).

Ca entraînerait une irritation de l’intestin, ce qui pourrait derrière entraîner maladies auto-immunes, des allergies… et même mener à la dépression (voir étude)

Et quid des faux sucres ? Ce serait encore pire. Dans une étude sur des souris, une équipe israélienne a remarqué que consommer des faux sucres modifiait la population de bactéries qui régulent notre métabolisme (la conversion de nourriture en énergie – voir étude).

Une autre étude confirme que les sucres artificiels entraîne une résistance à l’insuline, en modifiant justement le microbiome (voir étude).

Vous vous souvenez qu’on retrouve certaines bactéries chez les personnes en surpoids ? Ces bactéries qui se nourrissent de faux sucre sont les mêmes qu’on retrouve dans les souris obèses génétiquement.

Et les statistiques le confirme : les personnes qui utilisent des faux sucres sont à risque supplémentaire de prendre du poids.

Ceci expliquerait les taux d’échecs mesurés chez les gens qui essaient de maigrir avec des faux sucres, plus élevés que la moyenne.

Il est encore tôt pour en conclure officiellement que les faux sucres font grossir, mais ces mécanismes doivent quand même nous mettre la puce à l’oreille.

Vous savez, on est pas tous égaux face à la nourriture. A côté de vous, quelqu’un qui semble manger n’importe quoi et ne pas prendre un gramme, alors que vous gonflez après chaque écart ?

J’ai longtemps mis en avant la théorie hormonale, vu qu’un déséquilibre à ce niveau là suffit à stocker plus facilement.

Mais de plus en plus, on estime que la différence entre quelqu’un qui stocke naturellement et les autres se joue au niveau du microbiome, et influence ensuite notre métabolisme et donc nos hormones.

Notre consommation de sucre, vrai ou faux, semble être au coeur du problème.

Une fois que vous avez réduit votre sucre et que votre alimentation est plus variée… vous pouvez augmenter les bonnes bactéries avec quelques aliments très particuliers.

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Et si on arrête de manger, quel effet sur nos bactéries ?

Les effets du Fasting

Lorsqu’on est en surpoids, qu’on mange trop, trop souvent… on réduit l’amplitude de notre cycle alimentaire.

Ce cycle est suivi par nos bactéries : leur quantité, la proportion et répartition change au fil de la journée. Lorsqu’on mange des produits de mauvaise qualité, trop souvent… la variété des bactéries se réduit.

Mais lorsque vous arrêtez de manger pendant quelques heures, il se passe quelque chose de très particulier… qui aide à renforcer à nouveau ce rythme qu’on avait perdu un peu en mangeant tout le temps.

Vous le saviez peut-être, mais les études sur le Fasting ont montré que jeûner ne serait-ce que quelques heures permet une amélioration du métabolisme, j’avais écrit un article là-dessus. Sans que le mécanisme soit précisément connu.

Les bactéries nous donnent quelques indices !

Si on regarde à l’échelle de notre microbiome, ça a un effet surprenant : la variété de la flore intestinale augmente, ce qui affecte ensuite notre métabolisme d’une façon positive. Ce mécanisme a été mesuré dans une étude de 2014 (voir étude).

Comment est-ce possible ?

Il semblerait que les périodes de jeûne laisse le temps aux bactéries de faire le ménage. A ce moment, elles s’attaquent à leur propres populations.

Si vous vous souvenez de l’autophagie des cellules cancéreuses (le jeûne permet de les fragiliser et sont parfois détruite), c’est un peu le même principe. Les mauvais élèves, les faibles et les mal conçus sont éliminés.

Au même moment, la santé générale du microbiome est maintenue, il n’y a pas d’effet négatif.

Le Fasting augmente donc la diversité et la « force » de notre flore intestinale.

Petit bonus non négligeable : pendant l’état de jeûne, les microbes aident à produire la sérotonine.

C’est le neuro-transmetteur du bonheur ! Il vous rend directement plus heureux, tout en limitant vos envies de grignotages (souvent liés à des niveaux de sérotonine bas).

Conclusion

Lorsque j’ai commencé à écrire cet article, je savais que j’allais tomber sur des pépites vu ce que j’avais déjà lu sur le sujet.

Après toutes ces recherches, je suis aussi impressionné que vous sur les effets du microbiome sur notre métabolisme.

Vous le saviez, le Fasting améliore notre profil hormonal, mais sans qu’on sache exactement comment. On en sait un peu plus maintenant !

Avec ce qu’on vient de voir sur l’influence du sucre et du jeûne sur nos bactéries, il devient de plus en plus certain que la flore intestinale joue un rôle crucial sur notre santé, notre métabolisme et donc notre prise de poids.

Pour résumer : évitez le sucre et variez votre alimentation en favorisant les produits naturels.
Des vérités qui deviennent de plus en plus absolues…

Ah et puis bien sûr, je suis content de trouver de nouvelles raisons de jeûner. Longue vie au Fasting !

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Comments

  1. Jérémy says

    13 avril 2016 at 8 h 34 min

    Hey JB

    Tu soulèves un point important sur les probiotique: l’environnement dans lequel ils croîssent.

    Si l’environnement n’est pas favorable (digestion de plats industriels, sucre, etc…), les bonnes bactéries ne se développent pas.

    Si on prend des probiotiques en suppléments (comme « conseillé » par l’industrie pharmaceutique), ceux-ci ne survivront pas dans notre système GI déjà polué par les additifs industriels. Par contre les mauvais bactéries restent…

    Pour moi la clé c’est le jeûne (prends un air surpris!). On laisse le corps se soigner, restaurer son équilibre bonnes/mauvaises bactéries et on le nourrit après.

    Super article !

    • Veronique says

      19 novembre 2016 at 16 h 28 min

      Exactement !
      Moi, pendant mes journées de jeûne, je bois du kéfir que je fabrique depuis peu. (Citon bio, sucre brun bio, figues bio, eau minérale, et kéfir en grain)..
      Il paraît que cette boisson énergisante, rétablie les probiotiques.
      Voilà, je tenais à vous en faire part!
      Oui, super article !

  2. Pierric says

    13 avril 2016 at 10 h 18 min

    Salut JB,

    Comme d’habitude, excellent article donnant du boost pour approfondir le ré-apprentissage de nos modes alimentaires ! MERCI !

  3. isabelle says

    13 avril 2016 at 15 h 53 min

    On apprend beaucoup de choses……précis et concis…. comme d’habitude !
    Merci à vous.

  4. Dominique Blanchoud says

    13 avril 2016 at 18 h 21 min

    Salut JB,
    super article, très explicite pour tous, encore plus de motivation pour suivre le fasting, et décrocher du sucre. Encore une fois le fasting c’est LA solution pour bon nombre de problèmes.
    Merci ??
    Dominique

  5. Dominique says

    14 avril 2016 at 7 h 07 min

    Bonjour J B
    Que penses tu de la levure de bière comme complément alimentaire ?
    Pas celle qui est en paillettes, déshydratée et donc appauvrie, mais celle qui est dite reviviable qui se réactive dans le système digestif.
    Est ce une bonne idée de faire une petite cure une ou deux fois par an. Ou bien cest encore du marketing ?
    Merci tres bonne journée
    Dominique

    • omar says

      15 avril 2016 at 13 h 59 min

      ce n’est que du marketing, en plus la levure de biere existante au marché est transgénique (génétiquement modifié), je te conseille le sourdough starter, tu peux le préparer par toi meme, ça contient la lactobacilus qui néttoie le colon et le systeme digestif, autre chose qui n’a pas été mentionnée dans l’article c’est que les probiotique dans l’intestin se nourissent de l’inuline (sucre présent dans la patate douce et les topinamboure)

      • JB says

        15 avril 2016 at 23 h 15 min

        Je confirme pour les féculents résistants présents dans les tubercules… les pré-biotiques, c’est mieux que les pro-biotiques 🙂

  6. Arlette Germain says

    14 avril 2016 at 12 h 28 min

    Article très intéressant ! Surtout en ce qui concerne les neurotransmetteurs (sérotonine et dopamine). Il y en a plus dans notre intestin que dans le cerveau, d’où l’importance d’avoir un intestin sain.
    Merci pour cet article.

  7. Vincent says

    14 avril 2016 at 22 h 38 min

    Salut JB
    Super article, les bactéries intestinales me faisaient réfléchir depuis quelques temps, mais je n’avais jamais vraiment eu le temps de me pencher sur le sujet. Tu m’as très bien éclairé.
    A bientôt
    Vincent

  8. Dominique says

    16 avril 2016 at 7 h 01 min

    Suite levure de bière

    Merci à Omar et Jb pour vos précisions. Même la levure biologique ce n’est pas valable ? Je ne connais pas du tout le sourdough. Comment le faire ?
    En France lorsque on achète du yaourt à la grecque, même en bio , la souche lactobacilus rhamnosus n’est pas mentionnée. Je crois bien qu’il n’y en a pas. C’est juste écrit ferment lactique.
    Merci de m’éclairer encore une fois
    Bonne journée à tous

  9. Rocha says

    16 avril 2016 at 14 h 46 min

    ? bravo pour touts ces renseignements. Vraiment la nourriture industrielle est en train de nous tuer.

  10. Galadriann says

    17 avril 2016 at 17 h 34 min

    Excellent article.
    Je conseille vivement aux personnes désireuses de se documenter d’avantage l’excellent livre « le charme discret de l’intestin », écrit par une étudiante en médecine allemande… qui nous raconte avec humour et finesse le fonctionnement de notre « deuxième » cerveau..

  11. David says

    6 mai 2016 at 14 h 12 min

    Salut Jb
    Ton blog est vraiment super. Tu las fais avec wordpress ? Quel theme ?
    Merci
    David

  12. DARBOIS says

    6 juin 2016 at 15 h 21 min

    Je suis très contente d’avoir découvert le fasting et son action positive pour ralentir le vieillissement
    Étant nutritionniste , je peux ainsi compléter mes conseils alimentaires avec la bonne gestion des repas dans le temps.
    J’ai aussi ,grâce au fasting ,pu améliorer mes suites opératoires
    En effet, généralement ,après une opération , vous n’avez pas faim mais contrairement à la croyance générale ( médecins compris )la pratique du jeune intermittent a été pour moi très salutaire
    J’ai eu plus d’énergie , moins de douleur, une reprise du transit plus rapide
    L’hormone de croissance augmenterait le procès de Reparation par son action sur les cellules souches.
    En pratique , j’ai pris un repas par jour en privilégiant les sources de protéines et les légumes crudités.
    Les suites opératoires ont été divisées par 2 ce qui était annoncé ,alors que les chirurgiens ont tendance déjà à minimiser les problèmes .
    J’ai fait supprimer le glucose dans mes perfusions ( c’est important)
    Je peux vous donner plus de précisions
    Je suis très contente

  13. Hassan says

    9 juin 2016 at 15 h 16 min

    Bonjour JB.

    J’adore votre blog.
    J’aurais une question: si on pratique le jeûne comme vous le préconisez, peut-on faire chaque jour une heure de vélo d’appartement de manière intensive sans endommager les muscles et en puisant exclusivement dans les réserves de graisses? (Jeûne de 20h pour ma part pendant un mois pour causes religneuses).
    Merci pour tout!!

  14. carolle says

    30 août 2016 at 9 h 41 min

    Bonjour JB
    Je suis convaincu de l intérêt des bonnes bactéries sur notre corps . Pour ma part je consomme tous ceux que tu indique dans ton guide mais je me pose une question ( déjà posé plus haut dans les commentaires ) a savoir si les yaourts grecs vendu dans les grandes en moyennes surfaces en France son composés de lactobacilus rhamnosus ? parce que même si le yaourt grec est très intéressant dans point de vu protéinique savoir que nous pouvons les consommer (réellement) avec leurs (bonnes) batteries serait un plus .
    Merci JB pour toutes ses informations et le bien-être que tu nous apportes.

    • JB says

      19 septembre 2016 at 18 h 58 min

      Merci Carole, je n’ai pas la réponse absolue, mais pour un même type de yaourt, je pense que c’est probablement la même bactérie.

  15. Guiheneuf Jean Jacques says

    25 décembre 2016 at 6 h 59 min

    Bonjour
    JJ 60 ans merci pour ton site que je découvre.
    En fait j’ai toujours, depuis l’age de 18-20 ans pratiqué le jeune intermittent. j’ai toujours eu un rapport gargantuesque avec la bouffe, repas familiaux ou repas entre copain, il est vrai avec pédale douce sur l’alcool. Longtemps jeune marié, je compensais le lundi voir mardi si le week-end avait été dur. Par la suite c’était presque chaque jour, du moins la semaine que je faisais une sorte de 16/8 et je me lâchais le week-end. Je n’ai jamais vraiment eu beaucoup de surcharge pondérale, car amateur de body building. Par contre il y a des années j’ai fait maigrir de 20 kg des personnes de mon entourage en faisant 16/8 du lundi au vendredi.
    J’ai 60 ans, je n’ai jamais vu un médecin, ni pris de médoc. Voilà cela image très bien ce que je vis au quotidien. Il est vrai que je n’ai pas un corps de 60 ans.
    JJ

  16. Daniela says

    1 mars 2017 at 13 h 44 min

    Cher JB,
    J’ai découvert ton blog et ainsi le fasting la semaine dernière, car j’ai acheté ton livre à la FNAC, « par Hasard » :-). Depuis, j’ai immédiatement commencé le fasting, qui me semble LA réponse à toutes mes questions et qui confirme mes propres expériences et observations dans le passé. J’ai lu énormément sur la nutrition en général, les régimes me connaissent, mais je n’ai jamais trouvé « ma » solution. J’ai aussi lu le livre Le charme discrèt de l’intestin de Giulia Enders (je suis allemande comme elle), que je conseille de lire dans le cadre de ton article sur la flore intestinale ici. Je te tiens au courant de mes progrès en matière de perte de poids (17 kg et surtout du ventre, avant l’été) et suis prête à témoigner si ça marche, photos à l’appui !
    Bien à toi, et que le fasting nous sauve du monde alimentaire du 21ème siècle !
    Daniela

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